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Expansion au cours de l’Evolution versus variabilité chez le Macaque et chez les humains.
Cartographie de l’expansion du
cerveau observée du Macaque à l’Humain montrant les régions soumises la plus forte
expansion observée dans l’évolution chez les humains (en haut). Variabilité
de la distribution de substance grise chez les macaques (en bas à gauche) et les
humains (en bas à droite). Les résultats de Croxson et coll. indiquent une
association positive significative entre expansion aréale et variabilité de la substance
grise des lobes limbiques et temporaux chez l’homme, une association négative
dans le lobe occipital, et aucune association claire (corrélation faible ou pas
de corrélation) dans les lobes frontaux et pariétaux. Les cerveaux de macaque
et les cerveaux humains ne sont pas à l’échelle. (…).
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Les études portant sur l’évolution du cerveau
tendent à se focaliser sur les différences d’une espèce animale à l’autre, plutôt
que sur les variations au sein d’une même espèces. Une nouvelle étude mesure et
compare la variation intraspécifique de l’anatomie du cerveau du cerveau
macaque et du cerveau humain, afin d’explorer l’effet produit par la diversité
à court terme sur l’évolution à long terme. Aida Gómez-Robles, dans Trends in
Cognitive Sciences, publication en ligne en avant-première, 18 janvier 2018
Source iconographique, légendaire et rédactionnelle: Science Direct / Traduction et
adaptation : NZ