Noyau à l'interphase du cycle cellulaire Source iconographique et légendaire: http://theses.ulaval.ca/archimede/fichiers/22435/ch01.html |
La forme transcriptionnellement réprimée de l’hétérochromatine devient la
forme dominante de chromatine chez la plupart des cellules terminalement
différenciées. De plus, dans la plupart des cellules, au moins une classe d’hétérochromatine
se situe à proximité de la lamina nucléaire. De récentes approches de
décryptage du mécanisme de localisation de l’hétérochromatine permettent de déterminer si la ségrégation spatiale contribue à la répression génique. Des
découvertes faites sur des cellules de vers et des cellules humaines confirment le rôle de la méthylation de l’histone H3K9 pour ce qui est du positionnement de l’hétérochromatine,
identifiant ce faisant une modification nécessaire à la répression génique observées
sur des lignées transgénique de vers. Ces voies de signalisation semblent être
conservées ; toutefois, des effets de plus faible amplitude s’observent
sur les cellules mutées de mammifères, probablement du fait d’une redondance
dans les mécanismes de positionnement. Nous proposons un modèle général sur
lequel l’ancrage périnucléaire est lié à une propagation épigénétique de « l’état
hétérochromatique » de la chromatine, par l’intermédiaire de la
modification des histones. Benjamin D. Towbin et al, in Trends in
Biochemical Sciences – 983, online 6 June 2013
Source:
Science Direct / Traduction et
adaptation: NZ
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