Total des pages vues

Affichage des articles dont le libellé est cytoplasme. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est cytoplasme. Afficher tous les articles

jeudi 4 avril 2019

#trendsincellbiology #actinenucléaire ADN Actine Nucléaire et Protéines liant l’Actine dans la Réparation de l’ADN

Actine dans le Compartiment Nucléaire
Nucleus = Noyau
G-actin = G-actine
Chromatin remodeling = Remodelage de la chromatine
DNA repair = Réparation de l'ADN
actin-containing complexe = complexe contenant de l'actine
actin-bindng proteins = protéines liant l'actine
L’actine est activement importée dans le noyau par l’importine-9 et exportée par l’exportine-6. Dans le noyau, l’actine se lie à diverses protéines (…) et est incorporée dans des complexes plus importants comme les remodeleurs de chromatine. Les filaments nucléaires d’actine se forment d’une manière spécifique à l’espèce et peut se lier au pore nucléaire. (…).

L’actine nucléaire a été impliquée dans une variété de processus liés à l’ADN, remodelage de l’actine; incluant transcription, réplication, et réparation de l’ADN. Cependant, la compréhension du mécanisme d'action de l’actine dans ces processus est limitée, en grande partie du fait du manque d’outils permettant de poursuivre des recherches relatives aux rôles spécifiques de l’actine, c’est-à-dire ceux distincts de ses fonctions cytoplasmiques. 
De récentes découvertes soutiennent un modèle d’homologie dirigée dans la réparation des ruptures de double brin d’ADN (DSB) dans lequel un complexe ARP2 et ARP3 (les protéines de liaison de l’actine 2 et 3 se lient au niveau du site de rupture et agissent de concert avec l’actine pour activer le regroupement des DSB et la réparation dirigée par l’homologie. Plus tard, il a été rapporté que la relocalisation des DSBs de l’hétérochromatine vers la périphérie nucléaire chez Drosophila est ARP2/3-dépendante et guidée par l’acine-myosine. Ici, nous fournissons un aperçu du rôle de l’acine nucléaire et des protéines de liaison de l’actine dans la réparation de l’ADN, et formulons une évaluation critique des outils expérimentaux utilisés et des effets indirects potentiellement induits. Verena Hurst, et al, dans Trends in Cell Biology, publication en ligne en avant-première, 4 avril 2019

Source iconographique, légendaire et rédactionnelle : Science Direct / Traduction et adaptation : NZ  

mercredi 27 juin 2018

#Cell #mTORC1 #cytoplasme #particules #phases mTORC1 contrôle les séparations de phases et les propriétés biophysiques du cytoplasme par la modulation de l’encombrement

mTORC1 activity tunes ribosome concentration and crowding = L'activité de mTORC1 agit comme modulateur de la concentration en ribosome.
mTORC1 activity =  Activité de mTORC1
GEM mobility = Mobilité des GEMs (Nanoparticules Multimériques codées génétiquement)
Ribosome concentration = Concentration en ribosomes
Ribosomal crowding tunes phase separation = L'encombrement en ribosomes module la séparation des phases
Phase separation = Séparation des phases   

L’encombrement macromoléculaire a un profond impact sur les taux de réaction et les propriétés physiques intracellulaires, toutefois, les mécanismes de régulation de cet encombrement sont peu connus. Nous avons développé des multimères de nanoparticules codés génétiquement (GEMs), dans le but de décrypter ces mécanismes. Les GEMs sont des échafaudages homomultimères fusionnés à une protéine fluorescente qui s’autoassemblent sous la forme de particules claires, stables d’une forme et d’une dimension bien définies. En combinant le suivi des GEMs avec à la fois des techniques de génie génétique et de pharmacologie, nous mettons en évidence que la voie de signalisation mTORC1 peut agir en doublant le coefficient de diffusion efficace des particules 20 nm de diamètre par la modulation de la concentration en ribosomes, sans effet discernable sur le mouvement des molécules 5nm. Ce changement en concentration en ribosome agit sur la séparation des phases à la fois in vitro et in vivo. Pris dans leur globalité, ces résultats définissent les contours du rôle de mTORC1 dans le contrôle à moyenne échelle des propriétés biophysiques du cytoplasme et de condensation biomoléculaire. M. Delarue, et al, dans Cell, publication en ligne en avant-première, 21 juin 201

Source iconographique, légendaire et rédactionnelle : Science Direct / Traduction et adaptation : NZ

mardi 20 juin 2017

#cell #dynéine #cryoEM #microtubules La Cryo-EM révèle comment la dynéine cytoplasmique humaine est auto-inhibée et activée

La Cryo-EM de la dynéine cytoplasmique humaine révèle le mécanisme sous-jacent de son auto-inhibition et de son activation.
La dynéine-1 cytoplasmique se lie à la dynactine et à la protéine cargo adaptatrice pour former une machine de transport capable de se déplacer sur de longues distances dans un mouvement propulseur le long des microtubules. Cependant, il reste peu clair pourquoi la dynéine-1 se meut difficilement par elle – même ou comment elle est activée par la dynactine. Ici, nous présentons la structure complète révélée par cryo-microscopie électronique (cryo-ME) du complexe dynéine-1 humaine en état inhibé connu sous le nom de particule phi. Nous révélons la structure tridimensionnelle de la queue de la dynéine liant la protéine cargo et montrons comment l’auto-dimérisation des domaines moteurs les verrouille sous une conformation avec une faible affinité pour les microtubules. En perturbant la dimérisation motrice à l’aide d’une mutagénèse des structures, on conduit la dynéine-1 à se présenter sous forme ouverte avec une affinité augmentée pour les microtubules et la dynactine à la fois. Nous trouvons que la forme ouverte est aussi inhibée pour le mouvement et que la dynactine soulage ce stress en réorientant les domaines moteurs afin d’interagir correctement avec les microtubules. Notre modèle explique comment la liaison de la dynactine à la queue de la dynéine-1 stimule directement son activité motrice. Kai Zhang, et al, dans Cell, publication en ligne en avant-première, 15 juin 2017

Source inconographique, légendaire et rédactionnelle : Science Direct / Traduction et adaptation : NZ