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vendredi 18 janvier 2013

Glucagon-like peptide 1 et appétit

Représentation schématique des relations entre les signaux périphériques et  le noyau arqué de l''hypothalamus. In Médecine des Maladies Métaboliques Volume 6, Issue 2, Mars 2012, Pages 115 - 119
Source iconographique et légendaire: http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1957255712703723

Le glucagon – like peptide 1 (GLP-1) et les analogues du GLP-1 suscitent beaucoup d’intérêt, du fait du succès des mimétiques du GLP-1 dans le traitement du diabète mellitus de type 2 (T2DM); mais ces composés peuvent aussi montrer du potentiel dans le traitement de l’obésité. L’effet de satiété du GLP-1 peut impliquer des réflexes entéro-entériques pendant un repas, de même que des mécanismes de signalisation propres au système nerveux central ; en modulant l’appétit et en favorisant la satiété. Ici, nous passons en revue des données montrant le rôle du GLP-1 au niveau périphérique comme au niveau central dans la signalisation du contrôle de la motilité intestinale et de la prise alimentaire. La compréhension des mécanismes sous-jacents des effets suppresseurs de l’appétit du GLP-1 pourrait aider dans le développement de traitements ciblés contre l’obésité. Megan J. Dailey and Timothy H. Moran, in Trends in Endocrinology and Metabolism – 853, online 16 January 2013, in press

Source: Science Direct / Traduction et adaptation: NZ   

vendredi 6 avril 2012

Imagerie cérébrale fonctionnelle de l'appétit

"Dormir peu stimule l'appétit. Le manque de sommeil stimule une hormone qui ouvre l'appétit". Yoshitaka Kaneita, Université du Japon.
Source: http://www.lalibre.be/societe/sciences-sante/article/408107/dormir-peu-stimule-l-appetit.html
L'obésité est un trouble neurocomportemental résultant de la suralimentation et du manque d'exercice physique.

Des mécanismes à la régulation très fine existent, permettant prise alimentaire et dépense énergétique d'être en phase. Cependant, face à l'abondance de produits alimentaires à la fois bon marché et riches en calories, certains êtres humains - et peut être même la plupart d'entre eux - ont tendance à en consommer au delà de leurs besoins. Le cerveau soumet la prise alimentaire à régulation par la prise en compte de signaux internes du bilan énergétique, et d'indices externes comme la disponibilité en nourriture; en exerçant un contrôle sur le comportement alimentaire. Ici se situe le problème central de l'obésité.

Cet article passe en revue la récente utilisation de l'imagerie cérébrale chez les humains dans l'étude du contrôle de l'appétit par le système nerveux; et comment les systèmes neuraux impliqués peuvent induire une vulnérabilité à la suralimentation et à un environnement obésogène. Alain Dagher, in Trends in Endocrinology and Metabolism - 786, online 5 April 2012, in press 

Source: www.sciencedirect.com / Traduction et adaptation: NZ