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mardi 25 juin 2019

#Cell #activiténeurale #cerveau Activité Neurale Corrélée Entre Cerveaux de Chauves-Souris

Enregistrement simultané d'activité neurale chez des chauves-souris engagées dans des interactions sociales
Local field potential = potentiel de champ local
Spikes = Pics d'activité neurale
Activité neurale en corrélation entre cerveaux sur des échelles de temps multiples
Activité neurale chauve-souris 1
Activité neurale chauve-souris 2
Les corrélations inter-cerveaux covarient en fonction de l'étendue de l'interaction sociale
Separate social environments = Environnements sociaux distincts
Not interacting = Pas d'interaction
Interacting = Intéraction patente
No correlation = Pas de corrélation
High correlation = Corrélation élevée 

Des interactions sociales surviennent entre de multiples individus, mais quelle relation y-a-t-il avec la dynamique de leurs neurones au niveau de leurs cerveaux ? Afin de poser cette question à travers diverses échelles de temps et divers niveaux d’activité neurale, nous en avons enregistré l’activité électrique chez des couples de chauves-souris engagées dans des interactions sociales variées, à l'aide d'une technique d'électrophysiologie sans fil. Nous avons mis en évidence que l’activité neurale était en remarquable corrélation entre leurs cerveaux sur des laps de temps s’échelonnant entre quelques secondes et quelques heures. Nous avons établi que la corrélation dépend de l’environnement social partagé ; elle particulièrement forte en cas de potentiels de champs locaux de haute fréquence (>30 Hz), suivis d’une activité de pointes (modification du potentiel d’action) locale. De plus, nous avons montré que le degré de corrélation neurale varie en fonction de l’étendue des interactions sociales, et qu’une augmentation de cette corrélation correspond au déclenchement d’une phase d’interaction sociale. Ces résultats révèlent que la corrélation inter-cérébrale est une caractéristique inhérente aux interactions sociales naturelles, ils révèlent le domaine d’activité neurale dominant, et fournissent les fondements pour l’étude de son rôle fonctionnels dans les comportements sociaux. Wujie Zhang et Michael M. Yartsev, dans Cell, publication en ligne en avant-première, 20 juin 2019

Source iconographique, légendaire et rédactionnelle : Science Direct / Traduction et adaptation : NZ

mardi 31 janvier 2017

#trendsinecologyandevolution #corrélations #hérédité #génomique Corrélations et hérédité à l’ère de la génomique

Graphes indiquant la mesure de la corrélation entre traits de caractères (respectivement X et Y).
Pour ce qui est des traits de caractères pris en considération sur un plan quantitatif, la force de la corrélation entre les traits de caractère X et Y peuvent être mesurés à l'aide du coefficient de Pearson ρ. (...) Par exemple, le graphe de la Figure (A) à droite indique qu'il n'existe aucune corrélation entre le trait de caractère X et le trait de caractère Y.
Figure (B): Bleu = variant 1, population à traits de caractère X et Y élevés; Rouge = variant 2, population à traits de caractère X et Y faibles.
Figure C: Si X et Y sont corrélés de manière positive,  la sélection sera fera selon la flèche montante; si la sélection favorise le caractère X, par exemple, la sélection se fera selon la flèche descendante.
La pensée à propos des questions relatives à l’évolution et des conséquences sur les corrélations relatives à l’hérédité a été dominée par des théories de génétique quantitative axées sur les loci hypothétiques. 
Depuis son développement initial, la technologie a permis l’identification de variants génétiques spécifiques qui contribuent à l’établissement de corrélations sur le plan des traits génétiques. Ici, nous passons en revue des études relatives à la base génétique des corrélations de traits de caractères à encore dévoiler : quels éléments cette information nouvelle nous a-t-elle apportés ? Nous formulons l’hypothèse selon laquelle les liens que nous trouvons entre les variants génétiques peuvent être pléiotropiques (…) ou d’une autre nature, indiquant que la pléiotropie et autres liens génétiques ne représentent pas des mécanismes de remplacement. De plus, beaucoup de traits de caractère héréditaires obéissent à des mécanismes polygéniques, à la base, suggérant qu’à la fois la pléiotropie et liens génétiques en tant que tels y contribuent. Nous discutons des implications de ces découvertes sur les mécanismes qui sous-tendent l’évolution des liens de causalité entre traits de caractère. Julia B. Saltz, Frances C. Hessel, Morgan W. Kelly, dans Trends in Ecology & Evolution, publication en ligne en avant-première, 28 janvier 2017

Source iconographique, légendaire et rédactionnelle: Science Direct / Traduction et adaptation : NZ