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mardi 12 mars 2019

#thelancetchildandadolescenthealth #mélanome #MC1R Variants MC1R dans le mélanome de l’enfant et de l’adolescent : analyse mutualisée rétrospective d’une étude multicentrique de cohorte


Cellule de mélanome en 3D
Source: https://electron.nci.nih.gov/gallery/stepping-melanoma-cell

Des variants du gène du récepteur à la mélanocortine 1 (MC1R) de la lignée germinale pourraient provoquer une augmentation du risque de mélanome de l’enfant et de l’adolescent, mais une conclusion claire de cette question demeure un défi, du fait du nombre réduit d’études et de cas. Nous avons étudié l’association des variant MC1R chez les enfants et les adolescents atteints de mélanome dans le cadre d’une étude de comparaison de la prévalence des variants MC1R chez les patients enfants ou adolescents atteints de mélanome, avec celle des adultes atteints de mélanome et avec celle des adultes sains de contrôle.

Dans cette analyse rétrospective de données mutualisées, nous nous sommes appuyés sur le Projet M-SKIP, l’Intergroupe Italien sur le Mélanome avec d’autres groupes Européens (avec des participants provenant d’Australie, Canada, France, Grèce, Italie, Pays – Bas, Serbie, Espagne, Suède, Turquie, USA) réunis en une cohorte multicentrique internationale. Nous avons rassemblé des données phénotypiques et génétiques obtenues chez des enfants et des adolescents diagnostiqués d’un mélanome cutané primaire sporadique à l’âge de 20 ans ou moins, des patients adultes atteints d’un mélanome cutané primaire sporadique diagnostiqué à l’âge de 35 ans ou plus, et des adultes sains comme sujets de contrôle. Nous avons calculé les Odds Ratios (ORs) pour le mélanome de l’enfant et de l’adolescent associé à des variants MC1R par régression logistique multivariée. Des analyses de sous-groupe étaient réalisées chez des enfants âgés de 18 ans et moins et chez des enfants âgés de 14 ans ou moins.

Nous avons analysé les données recueillies chez 233 jeunes patients, chez 932 patients adultes, et chez 932 adultes sains comme sujets de contrôle. Les enfants et adolescents présentaient des probabilités supérieures d’être porteurs de variants MC1Rr que les patients adultes (OR 1.54, Intervalle de Confiance [IC] 95% 1.02-2.33), y compris lorsque l’analyse était restreinte aux patients âgés de 18 ans ou moins (1.80, 1.06-3.07). Tous les variants sur lesquels les investigations étaient portées, Arg160Trp excepté, tendaient, à des degrés divers, à présenter des fréquences plus élevées chez les patients jeunes versus les patients adultes, avec des fréquences significativement plus élevées pour le variant Val60Leu (OR 1.60, IC 95% 1.05-2.44 ; p=0.04) et Asp294His (2.15, 1.05-4.40 ; p=0.04). Les jeunes patients atteints de mélanome présentaient des fréquences plus élevées en variants MCR1R de quelque type que ce soit, en comparaison des sujets contrôle sains.  

Notre analyse mutualisée de données génétiques MC1R obtenues chez des jeunes patients atteints de mélanome a montré une prévalence augmentée des variants MC1Rr chez les enfants et les adolescents atteints de mélanome en comparaison des adultes atteints de mélanome, plus spécialement chez les patients âgés de 18 ans ou moins. Nos résultats soutiennent le rôle de MC1R dans la susceptibilité au mélanome des enfants et des adolescents, indiquant la pertinence clinique du développement de la détection précoce du mélanome et des stratégies de prévention.  Cristina Pellegrini, PhD, et al, dans The Lancet Child and Adolescent Health, publication en ligne en avant-première, 11 mars 2019

Financement : SPD-Pilot/Project-Award-2015; AIRC-MFAG-11831

Source : The Lancet Online / Traduction et adaptation : NZ

lundi 10 décembre 2018

#thelancetdiabetesandendocrinology #enfanttransgenre #adolescenttransgenre Traitement Hormonal pour l'Affirmation de l'Identité Sexuelle et Chirurgie chez les Enfants et Adolescents Transgenres

Traitements de l'affirmation de l'identité sexuelle chez les enfants et les adolescents

Les Directives de Pratiques Cliniques diffusées par l’Endocrine Society (USA) pour le traitement des personnes souffrant de troubles de l’identité sexuelle recommandent d’intervenir à l’aide de l’administration d’hormones sexospécifiques du sexe opposé (CSH) chez les enfants et adolescents transgenres qui ont besoin de traitement, et qui ont au préalable été soumis à une évaluation psychiatrique, et qui ont maintenu une identité transgenre persistante. Ladite intervention peut aider à affirmer son identité sexuelle en induisant des caractéristiques physiques masculines ou féminines conformes à l’expression du genre désiré, avec pour but d’améliorer la santé mentale et la qualité de vie. 
Quelques individus transgenres peuvent aussi souhaiter l’accès aux chirurgies permettant les modifications physiques et morphologiques allant dans le sens du genre désiré au cours de l’adolescence ; cependant, la recherche permettant d’indiquer aux chirurgiens et autres professionnels médicaux les meilleures pratiques cliniques sont rares. 
Cette revue de littérature explore en détails les données disponibles relatives à l’administration hormones sexospécifiques et aux interventions chirurgicales pratiquées chez les enfants et les adolescents transgenres, intégrant ces données aux résultats obtenus en termes de santé mentale, cognitive, des effets obtenus en termes cognitifs et physiques, des effets secondaires et données d’innocuité relevés. 
Cette petite quantité de données disponibles suggère, conformément aux directives internationales, que l’administration d’hormones sexospécifiques et la masculinisation de la poitrine chez les hommes transgenres sont associées à des améliorations de la santé mentale et de la qualité de vie. En revanche, les éléments de preuve concernant la vaginoplastie chez les femmes transgenres âgées de moins de 18 ans restent extrêmement rares. De ce fait, on ne peut encore conclure quant aux risques et les bénéfices des interventions pratiquées dans cette classe d’âge. Des recherches plus approfondies, menées à un niveau international est à recommander d’urgence ; afin de clarifier les effets psychologiques l’innocuité de telles interventions sur le long terme. Simone Mahfouda, BA Hons ; et al, dans The Lancet Diabetes & Endocrinology, publication en ligne en avant-première, 6 décembre 2018

Source iconographique, légendaire et rédactionnelle : The Lancet Online / Traduction et adaptation : NZ

jeudi 25 août 2016

#thelancetgastroenterologyandhepatology #migraine #troublesgastro-intestinaux Association entre troubles gastro-intestinaux fonctionnels et migraine chez les enfants et les adolescents : étude cas-témoin

Source: http://slideplayer.fr/slide/462832/
Les troubles gastro-intestinaux fonctionnels et la migraine retiennent souvent l’attention sur le plan médical. Nous avons précédemment montré une association entre migraine et colique infantile. Dans cette étude cas-témoin, notre but était de déterminer s’il existe une association entre migraine et d’autres troubles gastro-intestinaux fonctionnels chez les enfants et les adolescents.

Nous avons inclus des enfants et des adolescents âgés de 6-17 ans, qui se sont présentés au service des urgences de quatre hôpitaux tertiaires situés en France et en Italie. Les patients diagnostiqués de migraine ou de céphalées du type à tension par le neurologue du service de pédiatrie étaient recrutés dans le groupe cas. Les patients se présentant au service  des urgences atteints de traumatismes mineurs et dépourvus d’historique de céphalées récurrentes étaient recrutés dans le groupe contrôle. Afin d’éviter les biais, les diagnostics étaient effectués selon les critères de diagnostic de Rome (Rome  III), sans accès au tableau de randomisation. Les analyses univariées et multivariées étaient effectuées afin d’identifier les troubles spécifiques ainsi que les facteurs associés aux migraines et aux céphalées du type à tension.

Entre le 1er novembre 2014 et le 31 janvier 2015, nous avons recruté 648 contrôles et 424 cas (257 patients étaient atteints de migraine et 167 de céphalées du type à tension). 83 (32%) enfants du groupe migraine étaient diagnostiqués de troubles gastro-intestinaux fonctionnels en comparaison des 118 (18%) diagnostiqués des mêmes troubles dans le groupe contrôle (p<0.0001). Une analyse de régression logistique multivariée a montré une association significative entre migraine et trois troubles gastro-intestinaux : dyspepsie fonctionnelle (odds ratio 10.76, Intervalle de Confiance [IC] 95% 3.52-32.85 ; p<0.0001), syndrome du colon irritable (3.47, 1.81-6.62 ; p=0.0002), et migraine abdominale (5.87, 1.95-17.69 ; p=0.002). En revanche, une association inverse a été observée entre migraine et constipation fonctionnelle (0.34, 0.14-0.84, p=0.02). 41 (25%) participants atteints de céphalées du type à tension présentaient des troubles gastro-intestinaux, sans différence significative en termes de prévalence avec ceux dénombrés dans le groupe contrôle (p=0.07) ; aucune association significative entre maladie gastro-intestinale fonctionnelle et céphalées du type à tension n’a été notée.

Trois troubles fonctionnels gastro-intestinaux ont été associés avec la migraine chez les enfants et les adolescents. Ce sont des résultats qui comptent, pour le diagnostic et la gestion de ces maladies communes. De futures études seront nécessaires pour définir si les médicaments contre la migraine représentent un bénéfice dans le traitement des troubles fonctionnels gastro-intestinaux. Julie Le Gal, MD, et al, dans The Lancet Gastroenterology & Hepatology, publication en ligne en avant-première, 24 août 2016

Financement : aucun


Source : The Lancet Online / Traduction et adaptation : NZ

vendredi 27 mai 2016

#thelancetoncology #cancer #épidémiologie #enfants #adolescents #adultes Survie des adolescents et des jeunes adultes européens diagnostiqués avec un cancer en 2000-07: données basées sur la population EUROCARE-5

2 753 cas de leucémie ont été diagnostiqués dans toute la France entre 2002 et 2007 et parmi les victimes, une augmentation jusqu'à 2.2 fois plus élevée chez les enfants de moins de 5 ans vivant dans des localités proches de sites nucléaires.
Source iconographique et légendaire: http://coordination-antinucleaire-sudest.net/2012/public/photos/Vaucluse/cancer-discrimination.jpg
Les données EUROCARE ont montré une survie plus faible chez les adolescents et jeunes adultes (AJAs ; âgés de 15-24 ans) que chez les enfants (âgés de 0-14 ans) pour ce qui est de la plupart des cancers pouvant affecter ces deux groupes de populations, et de modestes améliorations de survie jusqu’à 2000-2002. Toutefois, les AJAs présentent des taux de survie supérieurs que ceux relevés chez les adultes pour la plupart des cancers. Nous avons, pour la présente étude, utilisé la toute dernière définition des AJAs (âgés de 15-39 ans) et fourni des estimations de la survie relative à 5 ans chez les AJAs européens atteints d’un cancer diagnostiqué en 2000-2007, et les avons comparées avec les estimations relevées chez les enfants et les adultes (âgés de 40-49 ans) atteints de cancer, et étudié les améliorations de la survie en fonction du temps.

Nous avons analysé des données de populations fournies par les registres du cancer de 27 pays européens participant à EUROCARE-5. Nous avons utilisé la soi-disant méthode complète pour estimer la survie relative sur 5 ans pondérée par le type de population pour 19 cancers affectant les AJAs et les enfants, et pour 27 cancers affectant les AJAs et les adultes. Nous avons évalué les différences de survie relative entre enfants versus AJAs, et entre AJAs et adultes, à l’aide du test Z. Nous avons utilisé une approche fondée sur la période pour estimer la survie relative à 5 ans dans le temps chez les enfants et les AJAs, et utilisé une modèle linéaire généralisé pour la modélisation des tendances en matière de temps de survie (1999-2007) et pour évaluer la significativité des changements dans le temps.

Nous avons analysé 56 505 cancers diagnostiqués chez les enfants, 312 483 chez les AJAs, et 3 567 383 chez les adultes. Pour tous les cas de cancers combinés mutualisés, la survie s’est améliorée dans le temps chez les AJAs (de 79% [Intervalle de Confiance -IC- 95% 78.1-80.5] en 1999-2002 à 82% [81.1-83.3] en 2005-2007 ; p<0.0001) et les enfants (de 76% [74.7-77.1] à 79% [77.2-79.4] ; p<0.0001). La survie s’est significativement améliorée chez les enfants et les AJAs atteints de leucémie lymphoïde aiguë (p<0.0001) et le lymphome non-Hodgkinien (p<0.0001 chez les AJAs et p=0.023 chez les enfants). La survie s’est significativement améliorée chez les seuls AJAs pour ce qui est des tumeurs du système nerveux central (p=0.0046), atrocytomes (p=0.040), et les mélanomes malins (p<0.0001). La survie est demeurée significativement plus faible chez les AJAs que chez les enfants pour huit cancers importants : leucémies lymphoïdes aiguës, leucémies myéloïdes aiguës, lymphomes Hodgkiniens, lymphomes non-Hodgkiniens, astrocytomes, sarcomes de Ewing, et rhabdomyosarcomes (p<0.0001 dans tous les cas), et les ostéosarcomes (p=0.011).

Nonobstant les résultats encourageants observés pour certains cancers, nous montrons dans l’ensemble une survie moindre chez les AJAs que chez les enfants pour huit cancers importants. Les initiatives récentes prises à l’échelon Européen pour l’amélioration des résultats chez les AJAs pourraient réduire les écarts de taux de survie existant entre les enfants et les AJAs, mais cette réduction ne peut qu’être vérifiée par de nouvelles études basées sur la population, dans le futur.  Dr Annalisa Trama, PhD, dans The Lancet Oncology, publication en ligne en avant-première,  26 mai 2016

Financement : Ministère Italien de la Santé, Commission Européenne

Source : The Lancet Online / Traduction et adaptation : NZ

mercredi 22 juillet 2015

#thelancetpsychiatry #TDAH #enfant #blessuretraumatique #médicament Effets des médicaments sur les risques de blessures traumatiques chez les enfants atteints de trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité: étude prospective de cohorte

Source iconographique*: http://www.afped.ca/contentDocuments/TDAH%20livre%20a%20colorier.pdf
*le lien ci-dessus permet d'accéder au téléchargement de la brochure
Les blessures traumatiques représentent le fardeau de maladie le plus important et la cause de décès la plus fréquente chez les enfants. Le trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité (TDAH) est associé à une mortalité plus importante, les accidents étant la cause la plus commune de décès dans le TDAH. Cependant, l’effet d’un traitement pharmacologique sur le risque de blessures traumatiques chez les enfants et adolescents atteints de TDAH reste inconnu.

À l’aide des registres nationaux du Danemark, nous avons suivi une cohorte de 710 120 sujets, incluant 4 557 sujets diagnostiqués TDAH avant l’âge de dix ans. À l’aide d’un schéma d’étude quasi expérimental basé sur écarts dans les différences, nous avons estimé les ratios de probabilité -odds ratios dans le texte- (ORs) des blessures traumatiques, ainsi que le changement moyen en matière de prévalence des taux de blessures traumatiques et d’admissions en service des urgences avant et après traitement, en comparaison d’enfants du même âge atteints de TDAH ne recevant pas de traitement - constituant ce faisant le groupe de sujets appariés de contrôle -.  

Selon la présente étude, les enfants atteints de TDAH étaient plus susceptibles de subir des blessures traumatiques, en comparaison avec des enfants non atteints de TDAH à l’âge de dix ans (OR ajusté = 1.29, Intervalle de Confiance [IC] 95% 1.22-1.37) et à l’âge de 12 ans (OR ajusté = 1.30, 1.23-1.37). De l’âge de 5 ans à l’âge de dix ans, la prévalence des blessures traumatiques chez les enfants atteints de TDAH qui étaient traités avec des médicaments contre le TDAH a diminué, passant de 19% à 14%, en comparaison d’une prévalence de 17% chez les enfants atteints de TDAH ne recevant pas de traitement. Ce résultat a conduit à l’obtention d’écarts ajustés entre les différences dans la diminution de la prévalence des blessures traumatiques de 31.5% (8.2-54.8) à l’âge de dix ans et de 43.5% (18.1-69.0) à l’âge de 12 ans due au traitement. Le traitement pharmacologique de la maladie a également permis de diminuer la prévalence des admissions en service des urgences à l’âge de dix ans (28,2%, 6.3-50.1) et à l’âge de 12 ans (45.7%, 25.8-65.7).

Les enfants atteints de TDAH présentent un risque accru de blessures traumatiques, en comparaison des autres enfants. Les traitements à l’aide de médicaments anti-TDAH ont réduit le risque de blessure traumatique jusqu’à 43% et d'admission en service des urgences jusqu’à 45% chez les enfants atteints de TDAH. En prenant en considération les résultats présents et les résultats précédemment obtenus relatifs aux accidents liés aux décès  chez les enfants atteints de TDAH, ces résultats représentent des données d’importance majeure en matière de santé publique. Dr Søren Dalsgaard, PhD, et al, dans The Lancet Psychiatry, publication en ligne en avant-première, 21 juillet 2015

Financement : The Lundbeck Foundation, the Danish Council for Independent Research, Centre For Integrated Register-based Research at Aarhus University, the Region of Southern Denmark Research Foundation, and Wørzner's Foundation.

Source: The Lancet Online / Traduction et adaptation: NZ

vendredi 23 septembre 2011

Le jeune enfant en développement: série d'articles

Petite enfance en développement. Source: Corbis
4 ans après la publication par Le Lancet d'une série d'articles sur le développement des jeunes enfants, l'enjeu que représente le soutien à 200 millions d'enfants dans les pays en voie de développement dans la concrétisation de leur potentiel, demeure. Une nouvelle série de 2 articles http://www.thelancet.com/series/child-development-in-developing-countries-2 documente des progrès réalisés dans ce domaine, dans le monde. 

La présente série d'articles a pour but d'identifier les lacunes dans la mise en oeuvre de ces interventions, de calculer les coûts engendrés par des programmes d'éducation préscolaires non satisfaisants; et présente des évidences nouvelles sur les causes et les effets des inégalités dans la petite enfance. Un appel à l'action est   aussi lancé dans un commentaire d'accompagnement. The Lancet Online, Une de page d'accueil, 23 septembre 2011.

Source:  http://www.thelancet.com// Traduction et adaptation: NZ  

lundi 29 novembre 2010

Caractérisation moléculaire et clinique du syndrome héréditaire de déficience du transport de la dopamine...

Imagerie cérébrale avec technique Dat SCAN. Copyright: Elsevier
A partir d'observations effectuées sur une population de 11 enfants au profil biochimique suggérant un syndrome de déficience du transport de la dopamine; il apparaît qu'il s'agirait d'une pathologie de type parkinsonien dûe à la mutation d'un gène récessif sur un chromosome autosome (Manju A Kurian et al; in The Lancet Neurology, Early Online Publication, 26 november 2010).

Intéressant, dans la mesure où des pathologies aussi communes que les dépressions se caractérisent souvent par un manque de dopamine... Doit on donc penser que certaines dépressions pourraient être également causées  par un défaut au niveau génétique?

Source: http://www.thelancet.com/ / Commentaire: NZ