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lundi 10 juillet 2017

#cell #neurones #pallidumventral #dépression Des populations distinctes de neurones du pallidum ventral relayent des symptômes distincts de dépression.

Des symptômes distincts de dépression sont codés par des circuits discrets du pallidum ventral qui projettent vers des régions distinctes du cerveau contribuant à la dépression.      
Les patients atteints de trouble dépressif majeur présentent une série de symptômes qui rendent difficile d’assurer à tout coup le succès d’un traitement soutenu. Des symptômes dépressifs distincts peuvent être codés par des circuits distincts dans le cerveau ; toutefois, nous ne savons toujours pas comment des circuits discrets sous-tendent toute une gamme de comportements liés à la dépression, et comment ils adaptent la réponse au stress. Nous identifions ici deux circuits discrets de neurones positifs à la paravalbumine dans le pallidum ventral (PV) projetant vers l’habenula latérale ou l’hypothalamus ventromédian, contribuant à la dépression. Nous trouvons que ces populations de neurones subissent différentes adaptations électrophysiologiques en réponse à un stress de défaite sociale, normalisé par un traitement antidépresseur. De plus, une manipulation de chacune de ces populations est médiatrice, soit d’un comportement de retrait social, soit de comportement désespéré ; mais pas des deux. Nous proposons que chaque composante distincte du circuit de neurones paralbumines-positifs du pallidum ventral régissent des phénotypes analogues à la dépression distincts toutefois, chez la souris, qui pourraient fournir une plateforme de traitements symptômes-spécifiques de la dépression. Daniel Knowland et al, Dans Cell, publication en ligne en avant-première, 6 juillet 2017

Source iconographique, légendaire et rédactionnelle : Science Direct / Traduction et adaptation : NZ      

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